La douleur doit être grande dans ton c½ur, ou légère, durable. Battante entre les deux, tu voyages. Tu voyages bien près, bien près de nous, bien près d'eux, de cette putin de société sans c½ur. Raisonnable on apprend tous ce mot un jour, raisonnable on l'affronte et on se soumet. Ne crains pas, je ne te dispute pas, je partage ta peine.
Pire encore, j'ose me dire celle qui te comprends le plus. Celle qui sais ce que veux dire ces mots que tu m'as écrit, qui sait la peine, le remord et déjà le regret. Et je m'offre le droit, le privilège de te dire : je suis désolé.
On aime pas trop sa, pourtant le mien n'a pas cette couleur là. Et tout ceux qui liront ceci me trouveront fière ou orgueilleuse et même toi tu pourrais le penser. J'espère seulement que non. Les autres j'en ai rien a foutre.
Un départ de nouveau, un arrêt de nouveau, une désillusion encore. Pourquoi faut-il toujours s'en prendre plein la gueule ? Pourquoi le cheval est-il un monde de préférence, de jalousie, de raison et d'idiotie ? Pourquoi on ne pourrait pas rêver sans se poser de question, vivre notre c½ur ?
Pourtant malgré moi, je suis d'accord avec ton choix. Malgré tout le respect que je lui dois à Elle, que je n'ai jamais vu, cette jument dont tu garderas la saveur des années et des années. Je ne crois pas qu'elle aurait été bien pour toi. Voilà, c'est dit. Tu le sais peut-être aussi. Tu n'aurais pas pu t'en séparer et tu n'aurais pas pu la voir mourir. Mourir, le défaut le plus cruel des chevaux.
J'ai vu le vide dans les prés, senti mon c½ur mourir et ma vie s'éteindre.
J'ai vu les départs, les absences, et ces chevaux qu'on a eu bien du mal a me dire qu'il était mort.
Pire encore je l'ai sentie mourir Elle.
Je l'ai sentie pire qu'une côte cassée, pire qu'une chute, qu'une inconscience. Une prise de conscience.
J'aurais voulu être près d'elle, j'aurais aimé sentir son c½ur battre une dernière fois. Mon dernier souvenir restera toujours mes larmes contre elle et son hennissement pour me rassurer. J'aurais du rester mais je n'ai même pas pu.
Cependant plus je réfléchi et plus je me dis que si je serais rester ce mardi soir là, ce jour de deuil que chaque soir fête et respecte, j'aurais cesser de croire, cesser de rêver, envisager le suicide et arrêter le cheval.
Ce sont des bêtes à chagrin, elle est trop âgée, c'est une dame qui t'a tout appris, mais qui à l'âge de rester paisible avec les chevaux qu'elle connais. Tu es trop jeune.
Et j'aimerais, si tu le peux.
J'aimerais que tu montes à cheval au centre équestre de Pluvigner, ou ailleurs.
Pas que tu attendes 8 ans.
Dis toi que c'est pour être forte ou je ne sais pas, mais si tu envisages d'arrêter, je t'en prie, reviens sur ta décision.
Et je te promets un voyage, avec ces chevaux qui nous font plus pleurer que rêver, au final, avec moi pas toujours tendre, pas toujours agréable, avec Elles si elles veulent encore. Noëmie m'en parle tu sais.
Un voyage sans raison avec des compagnons aux si courtes vies, mais les notres à égalité dans cet étrange chemin de la vie. Je te propose le diable et je vends nos âmes.
Je suis désolé.
Cela ne change rien.
J'aimerais pourtant que sa t'allège, sa t'envole, mais je ne suis pas orange hein ? Ni superposition.
Je suis juste moi, et ce que je suis pour toi. Un peu a part, amitié profonde mais qui ne s'impose pas sur les autres.
Je suis désolé et je me permets de te le dire.
Je tourne peut-être le couteau dans la plaie ou je t'aide à tourner une page tout en la gardant précieusement au fond de toi ou rien, juste pour te montrer que je suis là même si c'est inutile.
Et on trouvera, on trouvera celui ou celle bien que le chemin soit dure et laborieux.
On cherchera das heures entières, des années s'il le faut, comme pour moi.
Et quand on aura trouver rien ne sera aussi beau que ce moment.
Ou il sera là, quand tu seras là et moi entre l'exclusion et l'amitié qui nous lie, à la porte de votre union ...
Pire encore, j'ose me dire celle qui te comprends le plus. Celle qui sais ce que veux dire ces mots que tu m'as écrit, qui sait la peine, le remord et déjà le regret. Et je m'offre le droit, le privilège de te dire : je suis désolé.
On aime pas trop sa, pourtant le mien n'a pas cette couleur là. Et tout ceux qui liront ceci me trouveront fière ou orgueilleuse et même toi tu pourrais le penser. J'espère seulement que non. Les autres j'en ai rien a foutre.
Un départ de nouveau, un arrêt de nouveau, une désillusion encore. Pourquoi faut-il toujours s'en prendre plein la gueule ? Pourquoi le cheval est-il un monde de préférence, de jalousie, de raison et d'idiotie ? Pourquoi on ne pourrait pas rêver sans se poser de question, vivre notre c½ur ?
Pourtant malgré moi, je suis d'accord avec ton choix. Malgré tout le respect que je lui dois à Elle, que je n'ai jamais vu, cette jument dont tu garderas la saveur des années et des années. Je ne crois pas qu'elle aurait été bien pour toi. Voilà, c'est dit. Tu le sais peut-être aussi. Tu n'aurais pas pu t'en séparer et tu n'aurais pas pu la voir mourir. Mourir, le défaut le plus cruel des chevaux.
J'ai vu le vide dans les prés, senti mon c½ur mourir et ma vie s'éteindre.
J'ai vu les départs, les absences, et ces chevaux qu'on a eu bien du mal a me dire qu'il était mort.
Pire encore je l'ai sentie mourir Elle.
Je l'ai sentie pire qu'une côte cassée, pire qu'une chute, qu'une inconscience. Une prise de conscience.
J'aurais voulu être près d'elle, j'aurais aimé sentir son c½ur battre une dernière fois. Mon dernier souvenir restera toujours mes larmes contre elle et son hennissement pour me rassurer. J'aurais du rester mais je n'ai même pas pu.
Cependant plus je réfléchi et plus je me dis que si je serais rester ce mardi soir là, ce jour de deuil que chaque soir fête et respecte, j'aurais cesser de croire, cesser de rêver, envisager le suicide et arrêter le cheval.
Ce sont des bêtes à chagrin, elle est trop âgée, c'est une dame qui t'a tout appris, mais qui à l'âge de rester paisible avec les chevaux qu'elle connais. Tu es trop jeune.
Et j'aimerais, si tu le peux.
J'aimerais que tu montes à cheval au centre équestre de Pluvigner, ou ailleurs.
Pas que tu attendes 8 ans.
Dis toi que c'est pour être forte ou je ne sais pas, mais si tu envisages d'arrêter, je t'en prie, reviens sur ta décision.
Et je te promets un voyage, avec ces chevaux qui nous font plus pleurer que rêver, au final, avec moi pas toujours tendre, pas toujours agréable, avec Elles si elles veulent encore. Noëmie m'en parle tu sais.
Un voyage sans raison avec des compagnons aux si courtes vies, mais les notres à égalité dans cet étrange chemin de la vie. Je te propose le diable et je vends nos âmes.
Je suis désolé.
Cela ne change rien.
J'aimerais pourtant que sa t'allège, sa t'envole, mais je ne suis pas orange hein ? Ni superposition.
Je suis juste moi, et ce que je suis pour toi. Un peu a part, amitié profonde mais qui ne s'impose pas sur les autres.
Je suis désolé et je me permets de te le dire.
Je tourne peut-être le couteau dans la plaie ou je t'aide à tourner une page tout en la gardant précieusement au fond de toi ou rien, juste pour te montrer que je suis là même si c'est inutile.
Et on trouvera, on trouvera celui ou celle bien que le chemin soit dure et laborieux.
On cherchera das heures entières, des années s'il le faut, comme pour moi.
Et quand on aura trouver rien ne sera aussi beau que ce moment.
Ou il sera là, quand tu seras là et moi entre l'exclusion et l'amitié qui nous lie, à la porte de votre union ...
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